Une ombre recouvre l'immensité, l'infinité,
Elle arrive, qui donc pourra s'interposer?
Combien de larmes, ai-je pu verser,
Seul, perdu, abandonné, à contempler.
Ils ne veulent que vivre, exister
Et moi, le dos je leur ai tourné.
Bien sombre est ma divinité,
Sans chaleur, est mon éternité.
Mon ennemi est à mes côtés
Comme toujours, il l'a été.
Il traverse l'immensité
Pour ma vie me retirer.
Souvent mon bras elle a arrêté,
Quand vers vous je les pointé,
Voulant, sans scrupule, ni pitié
Que tout soit dévasté.
Puis, je lui ai expliqué,
Elle a compris et accepté.
Un baiser sur mon front a posé
Puis, partir dans le silence, m'a regardé,
Sans larme aucune versée
Connaissant mon plus grand secret.
Vivez, vivez, vivez, vivez
Qui je fus, oubliez.
Car, il faut que vous sachiez,
Je ne viendrais plus vous sauver.
L'immensité, l'infinité
J'ai finalement décidé de quitter
Ne laissant qu'une poignée
De ce que vous nommez liberté.
jeudi 30 avril 2009
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